Les habitants des cités AADL situées à proximité de l’hôpital 1er novembre à l’USTO, souffrent d’un manque flagrant de l’éclairage public.
En effet, l’obscurité dure depuis plusieurs mois sans que les services concernés n’interviennent.
Relevant administrativement de la commune de Bir El Djir, les résidents de ces cités AADL interpellent les responsables locaux à prendre en main ce dossier.
En cette période, où la journée est plus courte, l’inquiétude des parents augmente pour leurs enfants mais aussi pour leurs voitures qui sont ciblés par les cambrioleurs.
Le saccage des postes transformateurs reste la première cause de ce déficit en éclairage public, selon les habitants, qi citent également le manque d’entretien de la part des responsables.
Des endroits en plein coeur de la ville font les frais du manque d’entretien et de présence des responsables locaux sur le terrain.
Selon un résident: «une simple tournée des services techniques de l’APC pourra mettre fin à des mois d’obscurité, précisant que certains points lumineux nécessitent une totale réhabilitation, alors que d’autres une simple lampe, mais malheureusement, pour notre cité, rien n’a été fait» dira-t-il.
Ces derniers temps, l’installation de l’éclairage LED dont la consommation est économique financièrement parlant, est très en vue.
Mais en dépit de cela certaines cités restent plongées dans le noir ce qui donne des idées aux malfaiteurs qui viennent même des autres quartiers afin de perpétrer leurs méfaits.
L’appel est donc lancé par les habitants des cités 260, 350 et 1065 logement AADL situées entre le palais des congrès de haï Es-Sabah et l’hôpital EHU.
Le wali d’Oran qui vient de faire un tour à travers les quartiers d’Oran, n’a pas caché son mécontentement du travail des élus locaux, appelant à retrousser les manches et prendre réellement en charge les préoccupations des Oranais.
Un constat amer qui ne restera pas sans suite, car il a affirmé qu’il suivra luimême l’application des instructions données sur le terrain.
J.M
