Les directeurs des écoles primaires de la ville de Sidi Bel Abbés sollicitent le président de l’assemblée populaire communale de Sidi Bel Abbés de doter leurs établissements scolaires du téléphone fixe et de l’internet, pour la modernisation de l’administration et aussi trouver le moyen de communication avec la direction de l’éducation et aussi dotée l’administration de micro-ordinateurs et autres équipements, pour développer l’enseignement de l’informatique et la maîtrise des nouvelles technologies, afin d’atteindre les performances souhaitées au plan pédagogique.
Selon le contenu de la plateforme des revendications signées par le bureau de wilaya du syndicat des directeurs des écoles primaires, la coordination des directeurs du primaire du syndicat national des travailleurs de l’éducation et la coordination des directeurs des écoles primaires de l’union nationale des travailleurs de l’éducation et de la formation, la stratégie du secteur de l’éducation est l’équipement des établissements scolaires primaires des technologies de communication afin de numériser leurs services et améliorer leur travail, sauf que le projet a connu du retard.
Depuis la signature de la convention entre la direction l’éducation et Algérie Télecom, en 2016, 192 écoles primaires étaient programmées à être équipées du téléphone fixe et de l’internet, a-t-on appris des services de l’Algérie Télécom.
Les trois syndicats ont également revendiqué l’équipement des écoles primaires du mobilier nécessaire, le recrutement des ouvriers professionnels pour les besoins de la sécurité, le gardiennage, l’entretien et au niveau des cantines scolaires, ainsi que de recruter des gestionnaires des cantines comme le stipule le décret exécutif 03/ 18.
Outre le changement des citernes d’eau potable devenues détériorées et insalubres, et réserver des quotas suffisants de produits de nettoyage et de désinfection, ainsi que d’équiper les écoles de nouveaux chauffages à la place de ceux en panne et réparer les tuyaux de gaz de ville pour chauffer les classes.
Des revendications légitimes pour l’intérêt des élèves et enseignants, a-t-on souligné.
Fatima A
